Salut la terre et les terreux !
Vous regardez mon antépénultième bulletin. Félicitations !
Bon, assez perdu de temps comme ça. Passons à l'essentiel.
Nous allons plancher aujourd'hui sur le concept de la médiocrité positive !
Ca active quelques axones ?
M'aurait étonné, aussi.
Comme je me tue à le répéter, il faut toujours remettre à demain ce qu'on aurait pu achever le jour même. Au cas où on ne serait plus d'accord avec la version d'hier.
Vous allez dire, avec des gens comme moi, on n'ira pas bien loin. Mais, et alors ?
Vous comptiez aller où, de toutes façons ? Au bout du monde ? au bout de vos pompes ? A l'essentiel, au paradis, vous me faites marrer, tiens.
Question ! L'évolution est-elle dans le mouvement ?
Réponse : que chacun se débrouille avec ce qu'il a et les moutons seront bien gardés.
Alors ? Un petit début de réponse, peut-être…
Allez, je vais être beau joueur. Ca me changera.
Je vais faire dans le pédagogique, pour une fois. Je vais vous mettre sur la voie avec un joli proverbe tibétain. Chez ces abrutis d'himalayens, donc, qui n'ont pas oublié de prendre leur carte chez les cocos chinois, on dit la chose suivante : il n'y a pas de chemin vers le bonheur, le bonheur est le chemin.
Méditez moi ça un instant. Attention, un instant, c'est court. Il y a des types rasés en robe safran qui se penchent sur ce genre d'évidences tout au long de leur vie.
Il y a sûrement un temps médian et raisonnable à trouver entre ces deux extrémités.
Bref ! On va pas épiloguer la dessus pendant des années.
Parce qu'avec vous, ça va être coton. Et le coton, c'est un vieux truc d'esclave.
Comme d'habitude, je n'ai qu'un seul regret, c'est que l'humanité ne soit toujours pas en voie d'extinction. Mais je le répète. Tout ça finira mal !
Salut les bouffeurs d'illusions. Vous avez cautérisé votre conscience en regardant Nemo on the net. Ça pourra aller jusqu'au mois prochain. D'ici là, que les militants militent, les mourants s'appliquent, et les obèses éclatent.
Quant à votre serviteur, il tirera la chasse !

Tchao !